Jomain,Sophie – Felicity Atcock -6 Les anges voient rouge
- aelyfofo
- 5 déc. 2017
- 3 min de lecture

Présentation de l’éditeur
Je n’ai jamais été une grenouille de bénitier, mais je me souviens très bien des grandes lignes de la religion affirmant que Dieu est omnipotent, omniscient, omniprésent et… immense. Sauf qu’à en croire l’individu petit, chauve et rabougri qui se tient devant moi, il doit y avoir erreur sur la marchandise. Dans le cas contraire, si ce type est bel et bien le Tout-Puissant comme il le prétend, il va apprendre de quel bois je me chauffe. Même affronter l’enfer ne me fait pas peur. On n’avait qu’à pas m’enlever l’homme que j’aime.
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Biographie de l’auteur
Sophie tient à peine sur ses pieds quand elle apprend qu’être bavard n’est pas le privilège des grands. Elle utilise les mots et récite des poésies toutes aussi insolites les unes que les autres, sans toujours en comprendre le sens, mais ça fait son petit effet. C’est sûrement à ce moment-là qu’elle est atteinte du virus de l’expression, d’abord au micro dans le brouhaha d’un piano-bar (le jazz, son premier grand coup de cœur), et longtemps après, avec quelques cinq cents pages d’un livre bien épais. Plus tard, ses parents la promènent partout à un rythme effréné, si bien que, prise d’une crise de déplacement aiguë, elle se retrouve en Angleterre à l’âge de 18 ans, où sans se défendre plus que ça, elle se laisse séduire par l’Union Jack. Depuis, c’est une histoire d’amour qui dure, mais chacun chez soi, et les vaches seront bien gardées. Entre temps, c’est le syndrome de la truelle qui la kidnappe purement et simplement pour quelques belles années d’une idylle passionnée. Entre pinceaux, outils de dentiste, brouettes de terre et plusieurs belles découvertes, Sophie tombe tout droit dans l’héritage gaulois. Elle n’en sort vraiment que lorsque le fameux virus de l’expression ne décide de reprendre ses droits. Et vous connaissez la suite. . . Elle devient en très peu de temps boulimique de l’écriture, attrapée au cœur : Les étoiles de Noss Head, Les anges mordent aussi, Pamphlet contre un vampire et quelques projets bien ancrés dans sa tête. . . C’est la raison pour laquelle, en règle générale, lorsque Sophie vous dit qu’elle veut tenter une nouvelle expérience, il faut s’attendre à ce qu’elle tombe encore amoureuse. Amoureuse professionnelle. . .. son vrai métier ?
~~~~~~~~~~ Partenariats, forums et Lectures communes
Lecture personnelle dans le cadre du challenge de l’été.
~~~~~~~~~~ Mon avis:
Et voilà! C’est le tout dernier, la fin, le bouquet final.
Et pourtant quand ce tome a commencé j’étais au trente sixième dessous.
Quand il a continué, j’ai frémis d’angoisse, d’espoir dans la mission que c’était donnée Felicity et puis de colère totale quand je l’ai vu détruire tout en quelques mots.
Sur le moment je n’ai pas voulu comprendre. Comprendre à quel point son amour est fort. À quel point son sacrifice est grand. Je l’ai cordialement détestée.
Je fais partie de la team Gallagher. Depuis 5 tomes j’attendais ce revirement, cette lueur de compréhension dans son regard. Et voilà qu’elle me plombe tout en un tour de main.
Mais bon sang quelle nana! Elle en a subi des emmerdes de tous acabits, de tous poils, de toutes plumes et cornes de démons. Personne n’aurait pu encaisser ce qu’elle s’est prise dans la poire sans finir dingue.
Mais notre Felicity a évolué. Elle est devenue lionne. Sauvage et obstinée. Elle est devenue celle qui allait tout tenter pour sauver celui qu’elle aime.
J’ai adoré ce tome. Et une fois n’est pas coutume j’ai pleuré. De tristesse, de joie, de frustration aussi.
Merci Sophie Jomain pour cette série qui a su si bien m’enthousiasmer.
Merci pour ta petite dinde. Elle et ses anges resteront dans mes lectures favorites. Et dans mes relectures aussi.
Ce n’est pas un coup de cœur mais une bombe atomique que tu m’as lancée là. Je vais avoir du mal à m’en remettre et je ne le souhaite pas vraiment à vrai dire.
Merci à toi.
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