Carriger,Gail – Le pensionnat de Mlle Geraldine-4 Artifices & Arbalètes
Présentation de l’éditeur
C’est une chose d’apprendre à faire la révérence. C’en est une autre que de savoir faire la révérence en lançant un poignard. Bienvenue au pensionnat de Mlle Géraldine.
Apprendre l’art de l’espionnage au sein de l’école volante de Mlle Géraldine est devenu fastidieux pour Sophronia, privée de la présence de Savon à ses côtés. Elle préfèrerait utiliser ses talents pour contrarier les plans des Vinaigriers, mais ses maints avertissements au sujet des lâches intentions de ces derniers sont encore et toujours ignorés et Sophronia ne sait plus à qui se fier. Quelles informations détient le bourru dewan de Sa Majesté ? Dans quel camp se place l’élégant vampire Lord Akeldama ? Une seule chose est certaine : un complot d’envergure se trame, et Sophronia doit se préparer à sauver ses amis, son école et Londres tout entier du désastre à venir – sans jamais se départir de son spectaculaire raffinement, bien évidemment.
Découvrez le destin de notre jeune héroïne alors qu’elle met enfin en pratique ses années d’entraînement, dans ce quatrième et dernier volume du Pensionnat de Mlle Géraldine.
~~~~~~~~~~ Détails sur le produit
Format : Broché Nombre de pages en édition imprimée : 384 pages Editeur : Orbit Date de sortie : 15 juin 2016 Langue : Français Collection : Orbit ISBN-10 : 2360511211 ISBN-13 : 978-2360511211 Dimension du produit : 14*2.5*21.5 cm Prix : 16.90 €
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Biographie de l’auteur
GAIL CARRIGER vit dans les colonies et exige que son thé soit directement importé de Londres. Elle se dit influencée par Jane Austen et P.G. Wodehouse, des années d’études d’histoire (elle a été archéologue) et les costumes de scène de la BBC. Corsets et complots est le deuxième volet , Jupons & poisons, le troisième volet, de sa nouvelle série Le pensionnat de Mlle Géraldine, qui se passe 25 ans avant Le Protectorat de l’Ombrelle, et a été classé dans le palmarès des best-sellers du NY Times, comme tous les romans de Gail Carriger.
~~~~~~~~~~ Partenariats, forums et Lectures communes
Lecture personnelle dans le cadre du challenge de l’été.
~~~~~~~~~~ Mon avis:
Je débute mon challenge de l’été mis en place par Sae du blog les petits mots de Saefiel avec ce dernier opus steampunk (mon genre favori) des aventures de Sophronia Temminnick.
Les événements dramatiques qui ont cloturé l’épisode précédent ont jeté des troubles dans certaines relations entre nos jeunes gens et en ont renforcé d’autres. Nous retrouvons ainsi avec joie notre trio de choc et de charme : Miss Sophronia, Miss Dimity Plumleigh-Teignmott et Miss Agatha Woosmoss. Trois jeunes femmes surprenantes au caractère différents et cependant complémentaires. Elles vont vous éblouir dans ce tome par leur maturité mais surtout l’achèvement de leur formation sur des actions et prise de décision digne d’un grand agent secret. Car, oui, hélas, il s’agit du dernier opus de cette série et j’en suis fort marrie car je les aime moi nos jeunes filles de Melle Geraldine. Leur éducation hors norme, leurs aventures extraordinaires dans un quotidien presque aussi peu ordinaires ont bercé mes meilleures soirées de détente. Cette fois encore Gail Carriger ne nous laisse pas en rade et nous emporte dans le flot de l’action dès potron minet. Tout débute par un thé du Nouvel An, puis, bien entendu par un complot des Vinaigriers, agrémenté comme il se doit des tentatives d’implication des autres partis (celui du Dewan, de Lord Akeldama et de la ruche de Webminster). Chacun joue pour sa paroisse et les découvertes de ce tome-ci sont parfois surprenantes. Beaucoup ne sont pas ce qu’ils ont laissé croire et la surprise va de pair avec des scènes magnifiques d’actions et parfois d’héroïsme. Je ne rentrerai pas trop dans les détails mais l’auteur s’est surpassé cette fois encore et Sophronia va avec ses amies nous faire pénétrer à nouveau dans le monde du crime organisé et des règlements de compte. Leurs actions et leurs sentiments vont les porter chacune à réagir pour leur propre compte ou celui de celui ou celle qui les engage et cela donne de très bonnes scènes mouvementées, à suspens rien de moins qu’insoutenable mais aussi à une bonne dose d’humour et d’émotions. Ce quatrième tome clos la série mais le fait en apothéose. Pas un moment de laissez-aller, pas une seconde pour souffler cette fois-ci. Et ce que laisse entendre l’épilogue me donne rien de moins que l’envie de réattaquer la série du protectorat de l’ombrelle qui aura lieu quelques vingt ans plus tard afin d’ y voir quelques détails qui m’auraient échappé à ma première lecture. Si vous avez aimé Alexia Tarabotti ou encore déjà Sophronia dans les épisodes précédents, jetez-vous sur celui-ci et savourez le, c’est de la bombe !!!!
Un coup de cœur confirmé pour cette série steampunk, mais je n’en doutais pas un instant !
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