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Fairy Sex Tale de Callie J. Deroy


Présentation de l'éditeur

Je m'appelle Elëya et je suis une fée. Dans mon monde, tout n'est que plaisirs sensuels et amusement, j'y vis heureuse. Attendez, j'ai dit heureuse ? Non... Car celui que je veux plus que tout n'est pas auprès de moi, il fait partie d'une autre réalité. La vôtre. Une charmante et étonnante féerie érotique dans la collection L'ivre des Sens.

~~~~~~~~~~ Détails sur le produit

Format : Numérique (654 KB) Format imprimé : 22 pages Editeur : L’ivre-book Date de sortie : 23 mai 2015 Collection : L’ivre des sens Langue : Français ISBN-10 : ISBN-13 : 978- ASIN: B00Y0NAH60 Dimension du produit : x x cm Prix : 0.99 €

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Biographie de l’auteur

Née à Paris (il y a presque moins de trente ans), Callie est mariée et maman de deux petites filles. Les livres, c'est un peu toute sa vie, elle est tombée dedans quand elle était toute petite. Elle est l'auteure de plusieurs romans et nouvelles, dont la plupart s'impriment dans le style qu'elle affectionne tout particulièrement : la romance fantastico-érotique.

~~~~~~~~~~ Partenariats, forums et Lectures communes

Lecture en partenariat avec le forum Au cœur de l’Imaginarium et les éditions L’ivre-Book.

~~~~~~~~~~ Mon avis:

Elëya est une fée. Son royaume est à la fois proche et si loin du nôtre.

Car les fées peuvent nous observer, en tout temps, en tous lieux, nous ne pouvons qu’en rêver. Parfois leur présence à nos côtés, eux ces êtres pour qui la vie est axée sur le plaisir charnel, se ressent au travers d’un orgasme plus fort que les autres, d’une jouissance plus parfaite… Car leur réalité interfère parfois avec la nôtre et c’est ce qui fait que l’humain que nous sommes se tend plus que moins vers leur axe de vie : le sexe. Pas de jalousie, pas de tabou pour les fées car ils ne sont qu’amour et le sexe est donc une communion de vie, d’envies. Elëya fait donc l’amour souvent, avec nombres de ces congénères, sans en éprouver un quelconque remord, une quelconque gêne.

Jusqu’à ce jour où tout va changer.

Ce jour où, comme à son habitude elle déambule au travers du monde humain. Ce jour où, saisie d’un trouble curieux, inconnu jusqu’alors à ceux de son monde, elle se sent attirée par un humain. Il est grand, il est beau, ses magnifiques yeux verts regardent au travers elle. Un nouveau sentiment la tiraille. Sa vie de fée ne la satisfait plus, ses jouissances de fées semblent plus fades, ses besoins de fées perdent de leur saveur aussi. Que lui arrive-t-il ? Cette nouvelle courte mais intense nous plonge rapidement dans les affres des tergiversations intimes d'Elëya.

Ce nouveau sentiment si étranger à son monde, à son peuple semble la gouverner toute. Et tour à tour le lecteur la plaint et l'envie.

Elle est une fée. Elle est magnifique.

Qu'est ce que la vie d'un humain face à la sienne si longue ?

Et pourtant malgré toutes les règles, toutes les interdictions et simplement le bon sens, elle veut y croire et cherche une solution à son malheur.

Lorsqu'elle approche du but nous la soutenons, car pourquoi n'aurait-elle pas la possibilité d'aimer librement elle aussi, encore plus librement que les fées aiment déjà, c'est à dire aimer un humain et surtout interagir avec lui.

Alors nous la suivons pas à pas et chaque centimètre parcouru vers ce bonheur espéré nous éblouit.

La plume de Callie J. Deroy est belle, fluide et sensuelle.

Elle semble couler telle une onde magnifique et nous emporter au gré de son humeur vers le soleil levant.

Tout parait alors lumineux et féerique comme les sentiments d'Elëya pour son bel inconnu.

La chute n'en sera que plus rude et la leçon cinglante.

Les règles ne sont pas faites pour être détournées à son profit personnel dans le royaume des fées. Elles ont été édictées pour le bonheur de Tous.

Elëya les a transgressées, elle en paiera le prix et il aura un goût de cendres.

L'épilogue, encore, surprendra et rendra le lecteur plus circonspect sur le rôle que peut jouer l'apparence dans une vie et sur le bien fondé de dictons comme "chat échaudé craint l'eau froide" ou "un homme averti en vaut deux".

Je terminerai donc, une fois n'est pas coutume sur une citation de Châteaubriand: "Il est moins facile de régler le cœur que de le troubler.” Qui m'a semblé fort bien se prêter à notre héroïne.

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